9. Douche avec Marie
Je savourais une matinée de paresse absolue. Après un lever tôtif et sage, après un déjeuner en famille, Bruno avait emmené les enfants, me laissant seule dès huit heures et quart. Je flânais dans la maison, seulement vêtue d'un peignoir bleu ciel, enfilé au saut du lit.
Vers onze heures et demie, on sonne à la porte. Par la fenêtre ouverte, j'entends d'abord, en même temps que le carillon, le cliquetis de la clef dans la serrure. Un bref coup d'oeil me confirme l'arrivée de la douce Marie. Son ombre, frêle, se déplaçant avec légèreté et grâce, affole mes sens en une seconde. Un nouveau cliquetis, un grincement familier, puis le claquement sec de la porte de la maison se refermant. La voix cristalline de Marie retentit tout en montant l'escalier.
Joyeusement, elle m'embrasse et me propose de me secouer. Elle m'invite sur-le-champ à prendre ma douche avec elle, ce que nous faisons parfois. Mais juste la douche, elle n'a pas beaucoup de temps. Et puis je dois moi-même partir travailler.
Rapidement, elle dénoue la ceinture de mon peignoir qui glisse sur le sol. Entièrement nue, je lui rend un petit baiser et j'entreprends de la dévêtir. Je me colle derrière elle. Je détache les quelques boutons de son gilet de laine blanc. Un joli petit haut rose clair apparaît. Je le fais virevolter, dévoilant son joli soutien-gorge de dentelle blanche. Je pose mes mains sur ses hanches, et je m'accroupis en caressant le côté de sa courte jupe, de ses jambes, jusqu'à ses pieds. Je délasse et ôte ses tennis roses. Levant un pied après l'autre, elle m'aide à faire glisser les fines chaussettes blanches. Toujours accroupie, derrière elle, je remonte mes mains entre ses jambes. J'effleure son sexe, saisis sa culotte, et l'attire vers le sol. Deux petits pas, elle se retrouve face à moi seulement vêtue de sa charmante jupe vert pale. Elle défait l'agrafe, la jupe tombe. Levant les yeux, je la regarde se contorsionner pour détacher et enlever son soutien-gorge. Marie est nue devant moi, son sexe jeune et lisse devant mon visage.
Je la prends par la main, l'emmène dans la salle de bain. Je rentre seule dans la cabine de douche, et règle longuement la force et la température du jet. J'invite Marie à me rejoindre. Nous nous serrons, face à face, sous le jet. Nos bouches s'unissent sous les filets d'eau.
Reprenant l'initiative, Marie s'écarte un peu. Elle attrape le gel douche, s'en emplit les mains, coupe le robinet, et entreprend de me savonner soigneusement. Progressivement, une fine mousse blanche et un parfum sucré se développent autour de nous. Elle frotte d'abord mes seins, en s'y attardant plus qu'il ne serait nécessaire. Puis elle remonte aux épaules, et étend son geste à mes bras. Arrivée au bout des bras, elle prend tendrement mes mains, tout en déposant un doux baiser sur ma bouche. Puis, elle enduit de savon mon ventre, mes hanches et, se collant à moi, parcourt lentement le dos en tout sens. Ses mains saisissent mes fesses, descendent le long des jambes, puis remontent entre elles. Marie savonne ma toison intime, toutes les parties de mon sexe, avec ses gestes qui, hors de la douche, seraient de tendres caresses. Puis elle m'enlace et m'embrasse.
Je décide de ne pas savonner son petit corps, déjà tout propre. Je rouvre le robinet, et les mains posées sur ses épaules, je prolonge notre baiser et l'enflamme. Une brûlante étreinte singulièrement attisée par l'eau chaude qui ruisselle sur nos deux corps serrés, maintenant unis dans le propre, la pureté et les délicates fragrances.
Ruisselantes, nous sortons de la cabine. J'attrape une grande et douce serviette, avec laquelle j'entoure le corps de Marie. Puis de mes mains, j'essuie son corps en faisant légèrement glisser la serviette. Je sèche son cou, ses bras. Puis j'ôte la serviette, essuie son sexe, ses jambes, ses pieds, à genoux devant elle.
Je me relève lentement, toujours émerveillée par la vue de ce corps si attachant. Tenant la serviette à deux mains, Marie entreprend de la promener sur tout mon corps. Passant un peu rapidement sur mon sexe, pour ne pas enflammer un brasier que nous n'avons pas le temps d'éteindre, elle s'attarde toutefois de nouveau sur mes seins. Je sais qu'elle les apprécie particulièrement.
Marie se rhabille, lentement, comme à regrets. Je vois se couvrir progressivement cette nudité que j'adore. Je reste nue, et l'accompagne dans la cuisine. Sans parler, nous préparons et buvons un café, et c'est avec ce goût de café sur nos lèvres que nous échangeons un dernier baiser, plein de fougue et de promesses. Dès ce soir, nous jouirons ensemble.
Florence - fflorence@mail.com
Libellés : Marie
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