50. Tornade
La porte refermée, nous tombons dans les bras l’un de l’autre. Nous nous étreignons sagement, tandis que nos bouches se retrouvent et que nos langues se joignent et s’entortillent. Rapidement je me dégage et en quelques secondes je me retrouve nue devant lui, mes vêtements épars sur le sol. J’arbore fièrement un corps que 3 semaines de vacances ensoleillées ont auréolé de vitalité. Je sais qu’il sait que j’ai exposé sans relâche ni contrainte ma nudité pour arborer ce bronzage intégral et si intense.
Je suis terriblement excitée. Avant de venir, je n’ai cessé de penser à lui. Mon sexe est mouillé de pensées coquines nullement calmées par deux orgasmes matinaux. Par deux fois en effet j’ai dû m’éclipser aux toilettes pour tenter d’endiguer cette montée de désir.
Antoine s’agenouille. Toujours debout, j’écarte un peu les jambes pour qu’il accède plus librement à mon sexe. Sans tarder, il déchaîne un torrent de caresses avec ses lèvres et sa langue. Il suce le bord de mes grandes lèvres, puis trouve rapidement le clitoris et le suce à son tour. Enfin, par surprise, et avec toute la vigueur dont elle est capable, sa langue s’engouffre dans mon vagin et en lèche l’intérieur. Instantanément je jouis. Dans mon abandon, je m’agrippe à sa tête pour ne pas tomber et je crie, oublieuse des précautions habituelles.
Après moins de dix minutes passées chez lui, je ressors, troublée et chancelante.
Florence - fflorence@mail.com
Libellés : Antoine
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